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Auteur/autrice : webm@ster

Le futur de l’hydrogène se décide maintenant

FRANCE SUPPLY CHAIN vise une mobilisation massive pour rendre possible l’engagement pour 150 camions avant fin octobre.

Dans un monde où la Supply Chain représente 60% à 80% des activités de l’entreprise, le développement de solutions durables est devenu essentiel pour les organisations soucieuses de leur impact environnemental et social. Achats de matières de premières, stockage, fabrication, le transport routier est à la source d’un grand nombre d’externalités négatives de la chaine d’approvisionnement. Pour accompagner les entreprises dans une démarche plus verte, de nouvelles technologies émergent offrant une multitude de solutions responsables.

Fort de ce constat, FRANCE SUPPLY CHAIN, associé au Club Déméter, a décidé d’accélérer la transition du transport de marchandises routiers vers des véhicules propres pour une utilisation locale.

C’est à l’occasion de Movin’on en 2021, que plusieurs ateliers autour de l’Hydrogène dans la mobilité lourde des marchandises leur ont permis de réaliser la nécessité de créer un écosystème robuste pour l’émergence de ces nouvelles technologies. Toutefois, la mise en place de camions hydrogène, impliquerait de transformer les véhicules, les points de distribution d’énergie pour les implanter aux endroits stratégiques du territoire.

Rassembler des professionnels autour de ce projet est primordial pour le déploiement de solutions hydrogène afin d’offrir aux chargeurs et transporteurs des solutions durables pour le monde de la Supply Chain.

Dans le cadre de cette initiative, SupplyChain4Good propose aux entreprises de rejoindre le mouvement en vue de la création d’un consortium sous l’égide de FRANCE SUPPLY CHAIN pour répondre à un appel à projet européen.

Le 23 septembre dernier, à Albi, 42 membres se réunissaient pour l’opération de lancement avec la présentation du projet et l’essai d’un camion hydrogène. En parallèle, le Club Déméter explorait également cette piste H2 par l’intermédiaire de l’engagement de ses membres dans des POC mais aussi lors d’une phase exploratoire collective en Suisse.

Pour aller plus loin

Le 6 octobre FRANCE SUPPLY CHAIN et le Club Déméter organisaient, ensemble, un atelier collaboratif.  

La coalition des chargeurs s’engage pour un transport maritime décarboné

Pour accélérer le déploiement des solutions de transport maritime bas carbone FRANCE SUPPLY CHAIN et l’AUTF lancent un appel à la coalition des chargeurs

Confrontées à des défis environnementaux permanents, les entreprises réfléchissent à des solutions permettant une logistique ayant un impact plus faible sur l’environnement. Cependant, un sujet reste complexe : la décarbonation du transport maritime.

Si des solutions innovantes, comme les biocarburants, sont actuellement déployables, elles restent des solutions qui ne semblent pas pérennes sur le long terme en raison de la rareté des sources d’énergies utilisées et du manque de sobriété énergétique dont nous avons absolument besoin au niveau mondial. Or le transport maritime est un organe vital du fonctionnement de notre économie plus que jamais basée sur les échanges internationaux. 

Fort de ce constat, FRANCE SUPPLY CHAIN et son Lab Supply Chain4Good, en partenariat avec l’Association des Utilisateurs de Transport de Fret (AUTF), se mobilisent pour aller plus loin dans leur démarche vers un transport maritime bas carbone.

Ils appellent à une mobilisation des chargeurs internationaux, qui sont au cœur du cercle vertueux de cette transition, afin qu’ils rejoignent la coalition et deviennent acteurs d’une flotte maritime responsable.

Une première solution à propulsion majoritairement vélique

Dès aujourd’hui, FRANCE SUPPLY CHAIN et l’AUTF, initient les premières actions concrètes, avec la volonté de se situer à une échelle industrielle.  

Un groupe déjà constitué de 11 chargeurs, et amené à s’agrandir, s’engage à charger, dès 2024, une série de porte-container majoritairement propulsé à la force du vent, pour une ou plusieurs liaisons hebdomadaires transatlantiques entre l’Europe et l’Amérique du Nord.

D’ores et déjà soutenus par l’appétence de la Communauté Maritime, ils lanceront début 2022 un appel d’offre, dont la clôture est prévue mi 2022, afin de donner à leur action l’ampleur à la hauteur des enjeux environnementaux.

Au moment où le monde doit se réinventer face aux grands enjeux environnementaux, la Supply Chain, véritable système nerveux de l’économie, apporte encore une fois le témoignage qu’elle est une des clefs du renouveau.


À propos de France Supply Chain

Dans un monde de plus en plus complexe, faire de la Supply Chain un levier pour un monde plus durable est un enjeu essentiel pour toutes les entreprises. C’est pourquoi France Supply Chain apporte des solutions pertinentes à tous les acteurs de la Supply Chain, grâce à son réseau de 450 entreprises affiliées et une démarche reposant sur l’intelligence collective.

À propos de de l’Association des Utilisateurs de Transport de Fret (AUTF)

Association professionnelle des chargeurs, l’AUTF représente les entreprises industrielles et commerciales dans leur fonction de donneurs d’ordre aux transports. Multisectorielle et résolument multimodale, l’action de l’AUTF s’inscrit dans une démarche globale d’amélioration de la performance économique et environnementale des chaînes de transport au service de la compétitivité des entreprises et de l’attractivité du territoire.

Contact presse : CLC Communications

Gilles Senneville et Laurence Bachelot

01 42 93 04 04 
g.senneville@clccom.com
l.bachelot@clccom.com 

L’omnicanalité en supply chain : comment s’organiser ?

Catalyseur et accélérateur des comportements des consommateurs, la crise de la Covid-19 a poussé les entreprises à développer leur stratégie omnicanale. Zoom sur les bonnes pratiques à appliquer dans le nouveau webinar organisé par France Supply Chain avec le concours du cabinet de conseil Diagma, accompagné de deux géants dans leur domaine : Decathlon & Sephora.

Soigner sa supply chain omnicanale de l’amont à l’aval

Des e-commerçants de plus en plus performants, une offre en constant développement, une disponibilité produit accrue, le tout dans des centres-villes de moins en moins accessibles et face à des clients de plus en plus matures : tels sont les facteurs qui poussent vers l’omnicanalité et la nécessité de penser sa supply chain globalement. En amont – sur les achats, la prévision des ventes, l’approvisionnement, la gestion des stocks, la préparation de commandes et l’expédition – mais aussi sur l’aval via le transport, les retours et le SAV, il convient de savoir structurer et organiser sa supply chain pour répondre aux besoins des consommateurs, sur des réseaux physiques et/ou digitaux :

« Dans un monde omnicanal, il n’y a pas une mais des supply chains, l’omnicanalité représente une imbrication des frontières entre les canaux. Il convient donc d’apporter une réponse unique à un consommateur qui navigue entre les canaux et de lui offrir une expérience sans couture. Voilà le défi auquel sont confrontés les distributeurs. La supply chain répond à ces besoins mais est aussi active et moteur dans l’élaboration de la proposition de services, et contribue ainsi de façon directe au développement du business », explique Olivier Dubouis, partner chez Diagma.

De bonnes pratiques pour une expérience omnicanale sans couture

  • Chez Decathlon, Thibault Vandenberghe, chief supply officer en charge de la supply pour le retail et la transformation digitale, évoque un premier angle d’attaque pour réussir le pari de l’omnicanalité : penser à son assortiment, « à ce que l’on vend et à la façon de structurer l’offre ». Il insiste également sur le réseau de distribution : « il est nécessaire de proposer des services adaptés par rapport à la typologie de l’offre. Chez Decathlon, nous avons posé les différents scénarios, mis en place les solutions industrielles et laisser les commerçants exploiter ces solutions pour nous dire ce qui fonctionnait le plus afin de continuer à apprendre. En témoigne par exemple la mise en place de système de drives durant la Covid. »

  • Pour sa part, Adrien Homolle, directeur transformation supply chain chez Sephora, ajoute deux aspects pour se démarquer : la personnalisation client et l’innovation. « Plus de 250 marques et 40 000 références aux spécificités propres imposent de pouvoir apporter un niveau de service et une disponibilité produit exigeants. Nous y répondons via différents types de de livraison : classique, express, click and collect mais aussi via des services associés supplémentaires comme la gravure ou le smart sampling. Le client drive le besoin vers des solutions pragmatiques et adaptables. Pour y répondre, plusieurs mix sont à prendre en compte : scalabilité, flexibilité, coût, qualité de service… »

Industrialisation logistique, personnalisation client et adaptabilité, clés d’une stratégie réussie

Enfin, tout en évoquant leurs expériences et leurs projets, les deux experts égrènent encore quelques précieux conseils : assurer une parfaite exécution des opérations, apporter des éléments de différenciation au client, penser l’industrialisation de ses outils logistiques, dimensionner les solutions de mécanisation en fonction des fluctuations du business et du comportement évolutif du client mais également analyser la transformation des métiers logistiques et appréhender la question du retour. Une organisation exigeante que les acteurs de la supply chain intègrent, mettent en œuvre et optimisent chaque jour au service du client final.

Pour visionner l’intégralité du webinar et en savoir plus sur les stratégies omnicanales de Decatlhon et Sephora :

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ACTUALITÉS

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ÉVÈNEMENTS


PRESSE

Questions posées pendant le webinar

  • Concernant la partie adaptation des SI – nous héritons de 20 ERP différents sur l’Europe ce qui nous empêche d’avoir des DC pour nos clients, donc besoin d’entrer dans le monde complexe de l’order orchestration layer

    Decathlon : Même avec un environnement relativement standard, il y a de grands chantiers pour rendre possibles ces nouveaux schémas. Cela nécessite à long terme des refontes et une organisation plus modulaire de nos SI par produit et équipes en mode agile.

    Sephora : Nous avons fait le choix d’un ERP (SAP) en core model, un OMS, un front. Malgré cela, nous avons toujours d’autres systèmes à connecter (WMS…) qui nécessitent une adaptation constante de nos schémas IT.

  • “Le consommateur exige ce que le citoyen refuse”… comment gérez-vous les équilibres délais – CO2 ?

    Decathlon : Notre objectif est de rendre visible la data environnementale dans les choix des clients pour les rendre acteurs (Affichage sur le produit, sur les services).

    Sephora : Pour nous, la livraison la plus rapide est la moins “couteuse” en CO2 : le Click & Collect ; en effet, nos magasins de centre-ville sont majoritairement livrés en Green (électrique ou GNV). Nous sommes sinon en réflexion sur les attentes consommateurs en termes d’information CO2 vs. type de livraison.

  • Comment avez-vous réadapté votre SC sur la partie reverse (retour, échange…) ?

    Decathlon : Encore beaucoup d’apprentissages sur l’expérience du retour chez Decathlon, la reverse logistique est encore à ses débuts.

    Sephora : La partie retour pour les magasins a été développée depuis de nombreuses années : avec notamment de la revalorisation des produits ou packagings utilisés et retournés par nos clients en magasin. Pour les retours web : ces derniers peuvent être faits en magasin ou directement par transporteur ; ce dernier point est encore en cours d’amélioration, bien qu’il représente un taux très faible en France.

  • Quels indicateurs clefs suivez-vous afin de mesurer la performance Supply Chain de vos offres omnicanales ?

    Decathlon : La disponibilité produit, la rotation des actifs et la réduction de l’impact environnemental sont les 3 indicateurs clés de la transformation (Pour l’efficience c’est bien le triptyque Coût, Qualité, Délai).

  • Quels sont les critères qui ont conduit à l’internalisation des dépôts (Décathlon) et externalisation (Séphora) ?

    Decathlon : Nous avons investi sur ce métier depuis la création, nous travaillons avec des partenaires mais le choix de savoir-faire reste selon nous déterminant pour être innovants et différenciants.

    Sephora : L’externalisation de nos partenaires logistiques est historique ; mais nous avons un nombre restreint de partenaires de manière à gagner en synergie et en rapidité de mise en place de nouveaux outils.

  • Les indicateurs chez Decathlon sont-ils des paramètres de choix dans la solution de livraison au client ? (Expédition du produit là où il est dispo versus au plus près même s’il part de points différents ; au plus rapide versus au plus économique…)

    Decathlon : La priorité est d’abord la disponibilité, ensuite nous proposerons à la cible 3 scénarios pour le client : moins cher, plus rapide, moins d’impact environnemental.

  • Avez-vous des entités juridiques différentes dans votre réseau qui vous ont amené des questions sur les marges, qui porte le stock, les refacturations internes, les retours physiques… ?

    Decathlon : Oui, ce sujet est important à prendre en compte car dans un modèle en plus de market place les options sont encore plus nombreuses.

    Sephora : Oui, nous avons des entités juridiques différentes par pays.

  • Quelles technologies OMS utilisez-vous ?

    Decathlon : Les technologies choisies sont développées par nos équipes digitales, une partie des composants sont ceux des éditeurs de nos sources de stock.

    Sephora : Nous utilisons Order Dynamics comme OMS, en lien avec Salesforce et SAP.

  • Quelle solution technique utilisez-vous pour l’omnicanalité ?
    Notamment pour la gestion des stocks disponible à la vente mini-entrepôts.

    Decathlon : Le travail d’accessibilité des stocks magasins, entrepôts est gérée dans l’application du site web. Nous sommes limités aujourd’hui avec les choix de scénarios et aussi cela oblige à gérer cette intelligence dans tous les fronts. Un travail d’architecture technique est en cours pour désolidariser l’affichage de la promesse des modules de calculs de scénarios et de rendre ces fonctions compatibles avec un nombre infini de source de stock. C’est un projet en cours de déploiement prévu en 2022.

  • On parle beaucoup de ROPO. Comment gérez-vous les données de recherche produit sur le web sur les stocks magasins ?

    Decathlon : Nous affichons dans nos parcours les stocks des magasins. Si le client décide de finaliser son parcours d’achat en magasin sans le gérer en Click & Collect 1h, c’est la data d’identification du client qui nous permet de réconcilier recherche et achat. Nous n’avons pas de suivi journalier de ces datas mais cela se fait.

    Sephora : Nous prenons en compte les stocks magasins et entrepôts lors du parcours client sur notre site web, celui-ci se voyant proposer des finalisations d’achat en/à partir d’un magasin (C&C ou SFS) ou livraison.

  • Vous avez parlé de baisser de 45 % en 3 ans l’impact du transport sur l’environnement. Quels indicateurs suivez-vous pour piloter la réalisation de cet objectif ?

    Decathlon : Nous détaillons cet objectif avec les indicateurs de choix des modes de transport, de l’évolution des énergies de ces mêmes transports, des kms parcourus, du taux de remplissage de nos camions.

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Panorama des acteurs de la logistique, du transport et de la supply chain

La version 2025 est ici

De longue date, le grand public méconnaît les activités du Transport de marchandises et de la logistique, a fortiori de la Supply Chain, considérant qu’il s’agit avant tout d’intendance, d’activités de manutention et d’acheminement routier.

LA SUPPLY CHAIN : UNE VISION QUI NE PEUT PAS RESTER LIMITÉE À LA PARTIE ÉMERGÉE DE L’ICEBERG

Replay Live Webinar « Le futur de la Supply Chain »

Le 15 avril, Vincent Barale, Directeur Supply Chain et Logistique, Louis Vuitton et François Peignes, VP Supply Chain Operations, Orano ont présenté les résultats d’ateliers sur le futur de la Supply Chain.

Accompagnés par Laurent Maudrux (Louis Vuitton) et Amélie Brault (Orano) ils ont partagé leur expérience d’utilisation d’Anaplan pour piloter leur Supply Chain.

Retrouvez le replay de ce webinar en remplissant ce formulaire :

Cinq membres de l’association font leur entrée au sein du conseil d’administration présidé par Yann de Feraudy

Au regard du développement important de France Supply Chain, qui fédère d’ores et déjà 450 entreprises de toutes tailles (grands groupes, ETI, PME) et de tous secteurs d’activité, cinq nouveaux membres font leur entrée au sein du Conseil d’Administration de l’Association.

Vincent LAMARCHE
VP Logistic Strategy & E2E network design – SCHNEIDER ELECTRIC

Charles LEONARDI
Directeur Général Supply Chain – NESTLE

Éric LE MIGNON
Directeur Général Supply Chain – INTERMARCHE

Jean-Christophe MACHET
Président – FM LOGISTIC

Didier SCELLIER
Directeur Général France – PTV GROUP

Ils rejoignent les 41 membres du Conseil d’Administration et renforcent les 2 collèges qui le composent :

  • le collège 1 fédérant les entreprises industrielles, entreprise de négoce et distribution, prestataires logistiques et structures de santé ;
  • le collège 2 représentant : prestataires de service, associations, fédérations, organismes de recherche et formation et Individuels.

Ces 5 nominations s’inscrivent dans la dynamique de France Supply Chain qui accompagne les entreprises à se transformer, et s’appuie sur la force de son réseau et la puissance de l’intelligence collective avec pour ambition commune : la Supply Chain pour changer le monde.


Collège 1 Chargeurs

  • Vincent BARALE, Vice-président Supply Chain – LOUIS VUITTON
  • Laurent CHARDON, VP Sales & Operations Planning – RENAULT TRUCKS FRANCE
  • Yann DE FERAUDY, Directeur General Adjoint Operations & IT – GROUPE ROCHER OPERATIONS
  • Xavier DERYCKE, VP Supply-Chain Transformation Europe – REXEL DEVELOPPEMENT SAS
  • Didier GRANGER, Président – OEMSERVICES
  • Jean-Michel GUARNERI, Directeur Général – RPI
  • Pierre-Martin HUET, Vice-président Global Supply Chain – MICHELIN
  • Benoit HUVERT, Group Supply Chain Director – ORANGE
  • Eric JAVELLAUD, VP Global Supply Chain & Rx Strategy, IT Group, Simplifeye – ESSILOR INTERNATIONAL
  • Vincent LAMARCHE, VP Logistic Strategy & E2E network design – SCHNEIDER ELECTRIC
  • Eric LE MIGNON, Directeur Général Supply Chain – INTERMARCHE
  • François-Régis LE TOURNEAU, Supply Chain Standards & Prospective Director – L’OREAL CORPORATE
  • Charles LEONARDI, Directeur Général Supply Chain – NESTLE France
  • François MARTIN-FESTA, VP Marketing Offer Data – Digital Customer Experience – SCHNEIDER ELECTRIC
  • Diego MOMBELLI, Directeur Supply Chain et Logistique – ASMODEE
  • Bertrand NEYRET, Global WC Supply Chain et Manufacturing – SAINT GOBAIN
  • François PEIGNES, Vice-président Supply Chain Operations – ORANO
  • Marc RAFFO, Directeur Digital, Systèmes d’Information et Transformation- GROUPE AVRIL
  • Aime-Frederic ROSENZWEIG, Supply Chain Expert Leader – RENAULT
  • Stéphanie ROTT, Supply Chain and Manufacturing Group Director – LVMH
  • Annie SAILLARD, Rolling Stock & Component Vice President – Americas – ALSTOM
  • Yves SIMON DE KERGUNIC, Directeur Supply Chain – COURIR
  • Jean-Marc VIALLATTE, VP global Supply Chain – ARKEMA

Collège 1 Prestataires logistique

  • Alexandre BERGER, Directeur Unité d’Affaires Solutions Logistiques et Transport de Proximité – LA POSTE
  • Emmanuel BONNET, Vice-président Vertical Market FMCG – GEODIS
  • Philippe DE CRECY, VP Air freight Europe / HMO Air freight Europe – BOLLORE
  • Jean-Christophe MACHET, Président – FM LOGISTIC
  • Anne-Brigitte SPITZBARTH, VP Opérations Excellence & Sustainability – GEFCO
  • Frédéric VALLET, Président – SCHENKER France

Collège 2 Prestataires service, Associations, Fédérations, Organismes de recherche et de formation

  • Alain BORRI, CEO – BP2R
  • Jérôme BOUR, PDG – DDS LOGISTICS
  • Loïc CHARBONNIER, Président AFTRAL
  • Jean DAMIENS, Consultant Associé – ADAMEO
  • Jean Charles DECONNINCK, Président du Directoire du Groupe – GENERIX GROUP
  • Fabien ESNOULT, President & Founder – SPRINTPROJECT
  • Marie-Laure FURGALA, Directrice du programme ISLI – KEDGE BUSINESS SCHOOL
  • Latifa GAHBICHE, Directeur Général France et Maroc – CHEP
  • Cédric LECOLLEY, Directeur Commercial et Filières – GS1 France
  • jérôme LEFORT, Avocat – LLC AVOCATS
  • Jean-Marie PAUMELLE, Partner, practice Supply Chain – WAVESTONE
  • Sébastien PERDEREAU, Practice Manager – MICHAEL PAGE
  • Philippe RAYNAUD, CEO – C-WAY
  • Laurent SABATUCCI, Directeur associé-Fondateur – EOL
  • Karine SAMUEL, Professeur des Universités – AIRL-SCM
  • Didier SCELLIER, Directeur Général France – PTV GROUP
  • William ZANOTTI, Président – DIGILENCE

À propos de France Supply Chain

Dans un monde de plus en plus complexe, faire de la Supply Chain un levier pour un monde plus durable est un enjeu essentiel pour toutes les entreprises. C’est pourquoi France Supply Chain apporte des solutions pertinentes à tous les acteurs de la Supply Chain, grâce à son réseau de 450 entreprises affiliées et une démarche reposant sur l’intelligence collective.

Contact presse : CLC Communications

Gilles Senneville et Laurence Bachelot

01 42 93 04 04 
g.senneville@clccom.com
l.bachelot@clccom.com 

Cinq membres de l’association font leur entrée au sein du conseil d’administration

Au regard du développement important de France Supply Chain, qui fédère d’ores et déjà 450 entreprises de toutes tailles (grands groupes, ETI, PME) et de tous secteurs d’activité, cinq nouveaux membres font leur entrée au sein du Conseil d’Administration de l’Association.

Vincent LAMARCHE
VP Logistic Strategy & E2E network design – SCHNEIDER ELECTRIC

Charles LEONARDI
Directeur Général Supply Chain – NESTLE

Éric LE MIGNON
Directeur Général Supply Chain – INTERMARCHE

Jean-Christophe MACHET
Président – FM LOGISTIC

Didier SCELLIER
Directeur Général France – PTV GROUP

Ils rejoignent les 41 membres du Conseil d’Administration et renforcent les 2 collèges qui le composent :

  • le collège 1 fédérant les entreprises industrielles, entreprise de négoce et distribution, prestataires logistiques et structures de santé ;
  • le collège 2 représentant : prestataires de service, associations, fédérations, organismes de recherche et formation et Individuels.

Ces 5 nominations s’inscrivent dans la dynamique de France Supply Chain qui accompagne les entreprises à se transformer, et s’appuie sur la force de son réseau et la puissance de l’intelligence collective avec pour ambition commune : la Supply Chain pour changer le monde.

Comment la blockchain fluidifie les échanges entre l’ensemble des acteurs de la supply chain

Le 2 juillet dernier, France Supply Chain et son partenaire Wavestone organisaient un live webinar autour de la Blockhain appliquée à la supply chain. Zoom sur des cas d’applications de la technologie dans le secteur, présentés de façon pragmatique et pratique.

La Blockchain – technologie de validation et d’historisation de transactions, transparente et sécurisée, fonctionnant sans organe central de contrôle- fait couler beaucoup d’encre depuis l’émergence de son concept en 2008. Et si elle est, selon l’édition 2021 du panorama de la digitalisation, considérée comme un chantier prioritaire pour 36% des sociétés interrogées, elle en reste néanmoins un sujet encore peu exploité dans le secteur de la supply chain.

Voilà pourquoi, autour de Marc Dauga, partner Supply Chain chez Wavestone et membre du Lab Digital & Technologies de France Supply Chain, trois startups – Ownest, KeeeX et Crystalchain – sont venues présenter des cas d’usages concrets de la Blockchain en supply chain.

Améliorer la gestion des stocks et fluidifier la supply chain

Véritable levier de création de valeurs pour la supply chain, capable de réduire les risques et d’optimiser les écosystèmes, la Blockchain et ses atouts – sécurisation, désintermédiation et décentralisation – font doucement leurs preuves dans le secteur. Pour preuve, le cas client présenté par Thibault Glaunez, CPO d’Ownest, autour de SNCF Réseau qui a choisi de mettre en place sur son site industriel d’assemblage d’éléments de voies (EIV) de Moulin Neuf une solution développée par Ownest permettant le transfert de tokens, des actifs transférables numériquement disposant d’un identifiant unique et inaltérable, de contenu et d’un propriétaire. Ainsi, à chaque pièce échangée entre le chantier et le magasin de l’EIV de Moulin Neuf, un transfert de responsabilités est associé : « Lorsqu’on transfère les produits, on se transfère également les tokens de responsabilité associée. Nous avons créé un consensus avec des intérêts individuels à chaque transfert de produits, afin de pouvoir les tracer et sécuriser les flux logistiques », détaille Thibault Glaunez. Résultats ? Une meilleure gestion des stocks, un taux de non-conformité lié à la perte d’un produit divisé par deux, une diminution de la perte de produit et la mise en place de KPIs concrets de ce qu’il se passe sur le terrain.

Faciliter la synchronisation des flux dans le transport multimodal

Vient ensuite le tour de l’entreprise KeeeX qui présentait un projet pour le Grand Port Maritime de Marseille, autour du transport multimodal. Les objectifs ? Augmenter le trafic tout en réduisant les délais et coûts de transport et en améliorant l’impact environnemental. Pour ce faire, KeeeX a développé une application sécurisée et utilisable par tous types d’usagers. « Elle permet de se connecter au système, de flasher le numéro de conteneur, d’effectuer différentes opérations et d’ajouter des informations sur la chaine en temps réel. Chaque ajout réalisé est signé par la personne qui le réalise. Finalement, parmi les ROI majeurs de cette solution, on note une réduction du nombre de transactions, une très forte augmentation des taux de visibilité et une synchronisation des échanges passés de 14 % à 100 % », souligne Cyprien Veyrat, VP Marketing et Pre sales chez KeeeX.

Vers des produits de grande consommation seront tracés de bout en bout 

Enfin, pour clôturer ce tour de table, Maxime Michelot, responsable des projets agroalimentaires chez Crystalchain dévoile un projet mené avec l’entreprise Raynal & Roquelaure. Ici, de l’agriculteur au point de vente, tous les acteurs enregistrent de façon autonome leurs informations de traçabilité sur un système sécurisé, fiable et distribué. Ces dernières sont ensuite repartagées à l’ensemble des maillons de la chaine. Ensemble, les entreprises connectent les données et les valorisent pour répondre, entre autres, à des problématiques de maîtrise du risque sanitaire et fluidification de la supply chain. « Non seulement cela répond au besoin de transparence du consommateur mais en plus, la plateforme permet en quelques clics de remonter toute la chaine de traçabilité et de mettre à plat de potentielles incohérences sur la quantité ou bien encore la provenance des produits », détaille Maxime Michelot. « Notre vision ? D’ici 5 à 10 ans, tous les produits de grande consommation seront tracés de bout en bout », conclut-il.

Enfin, afin d’apporter de plus amples détails sur ce sujet de plus en plus prégnant dans le secteur de la supply chain, France Supply Chain et Wavestone ont également édité un livre blanc à retrouver ci-dessous :

France Supply Chain et MichaelPage révèlent les résultats d’une étude menée sur les tendances et les nouveaux métiers de la supply chain

Comment les supply chain appréhendent-elles les nouveaux paradigmes du recrutement dans des entreprises qui font face à un climat d’incertitudes et qui se doivent d’être toujours plus agiles, résilientes et tournées vers l’économie circulaire ?

L’étude* menée auprès de professionnels membres de France Supply Chain en collaboration avec le cabinet Michael Page, dresse une photographie de la Supply Chain sous l’angle des ressources humaines, en observant les attentes des entreprises, les profils des candidats et les mutations du secteur. Elle constitue un ensemble de ressources sur lesquelles pourront s’appuyer les entreprises, les professionnels de la Supply Chain et manager RH pour suivre l’évolution des compétences, mais également les étudiants, les écoles et les universités, pour appréhender les formations et définir les cursus.

*étude menée auprès de 40 professionnels acteurs de la Supply Chain, 2020

Quatre des membres du Conseil d’Administration de France Supply Chain, experts du secteur, ont conduit avec le cabinet Michael Page, partenaire historique de l’Association, cette étude riche en enseignements, au sein des Lab RH et Digital de France Supply Chain qu’ils animent : Xavier Derycke, François Martin Festa, Sébastien Perdereau et Philippe Raynaud.

« Cette étude nous a permis de mettre en lumière de nouvelles opportunités pour la Supply Chain, appelant un vivier de candidats qualifiés, aux profils variés, aux compétences transverses, et dont les “soft kills“ sont de plus en plus questionnées dans le processus de recrutement.

Yann de Féraudy, Président de France Supply Chain

Marché de l’emploi et recrutement : quelles tendances ?

Aux vues de l’obsolescence programmée de certaines compétences, de la révolution digitale et du rythme de l’innovation, cette étude identifie des profils clés pour les entreprises, en mettant en lumière les plus demandés, les plus en pénurie mais également en identifiant les postes en croissance et ceux en transformation.

  • Au regard de la croissance du e-commerce et de l’industrialisation des sites logistiques, certains profils sont aujourd’hui très demandés: les directeurs de site logistique (représentant 27 % des missions traités par le Cabinet Michael Page) et les responsables Supply Chain en PME industrielle.
  • D’autres restent en tension, manquant cruellement de candidats comme les Ingénieurs d’études, les responsables Supply Chain PME industrielle, les responsables exploitation logistique ou encore les responsables douanes, fonction fortement impactée par le Brexit.
  • A contrario, certains postes comme les responsables transport, coordinateurs Service Client & Logistique, responsables Lean et Supply Chain Manager, sont actuellement en croissance. La part des Supply Chain Manager qui a longtemps représenté moins de 10 % des missions du cabinet de recrutement Michael Page, a plus que doublé en 2019 et reste stable 2020.
  • Appelés à se transformer, les postes de responsable exploitation témoignent de l’intérêt croissant des entreprises pour des profils issus de l’industrie, et parfois sans expérience logistique, mais rompu au management d’équipes opérationnelles, à l’organisation de flux complexes et au Lean Management.

Parmi les compétences techniques recherchées, l’étude des tendances et des nouveaux métiers de la Supply Chain pointe la Finance, la Gestion du risque, la Technologie/IT et l’Orientation Commerciale.

Rémunération et attentes :

Certains profils de consultants à peine diplômés possèdent déjà un niveau de salaire élevé en sortie d’école (40-45K) et peuvent rapidement espérer jusqu’à 20 % de gap salarial en changeant d’entreprise. Pour d’autres, cependant, le haut niveau de rémunération du départ n’évolue pas aussi rapidement. L’étude note par ailleurs une situation fortement contrastée chez les Supply Chain Manager, certains connaissant un niveau faible d’augmentation (5%), quand d’autres enregistrent une très nette évolution de leur rémunération (20%).

Si les facteurs d’attractivité de la Supply Chain sont nombreux, les candidats sont de plus en plus attentifs aux conditions d’exercice de leur métier et à l’écosystème de l’entreprise : variété des missions, parcours de carrière, relationnel avec le management, qualité du programme d’intégration, processus de recrutement et rémunération… Ils passent au crible l’organisation qui les recrute en évaluant les moyens qu’elle alloue à la Supply Chain.

Quatre nouveaux métiers de la Supply Chain

Pour clore cette étude, une série d’entretiens avec des experts de France Supply Chain, conduits et enrichis par les observations du cabinet Michael Page, ont permis d’identifier quatre professions clés pour la Supply Chain de demain :

  • Architecte Supply Chain,
  • Data Analyst Supply Chain,
  • Supply Chain Innovation Leader,
  • Sustainable Supply Chain Manager.

Encore confidentiels, ces métiers sont aujourd’hui l’apanage de quelques grands groupes membres de l’association et qui ont contribué à cette étude. A travers ce partage d’ informations sur les tendances et les nouveaux métiers de la Supply Chain, France Supply Chain illustre une nouvelle fois sa capacité à favoriser les échanges autour des enjeux du secteur, à appréhender ses transformations, en travaillant dans une démarche d’intelligence collective.


À propos de MichaelPage

Filiale de PageGroup (plus de 7 500 collaborateurs à travers le monde), Michael Page est le leader du recrutement spécialisé sur les postes de middle/top management en France. Michael Page identifie des cadres confirmés pour des missions en CDD et CDI grâce à l’expertise de consultants présents sur l’ensemble du territoire et intervenant au sein de 17 divisions spécialisées, secteurs ou métiers.

Contact presse : Agence PLEAD

Elodie Augrandenis
Tél : 06 48 03 65 24

elodie.augrandenis@plead.fr


À propos de France Supply Chain

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Contact presse : CLC Communications

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