Cette année, distanciation oblige, les Rois de la Supply Chain ont eu lieu en mode [digitalisé], ce qui a permis une forte participation de la communauté Supply Chain.
Le Grand Prix 2021 est décerné à Casino O’Logistique : avec ce projet, O’Logistique répond aux défis du e-commerce alimentaire, amplifiés par les multiples confinements. Avec une solution « end-to-end », le Groupe Casino affiche un taux de service à 99 %, une ponctualité à 1 h et un NPS supérieur à 50 %. O’Logistique, c’est l’industrialisation de la logistique avec une dominante RSE, de l’entrepôt à la livraison
Pour la 2ème année consécutive France Supply Chain fera briller la Supply chain française en accompagnant le gagnant O’Logistique sur la scène européenne pour le trophée « Project of the Year » lors des ELA Awards le 09 novembre 2021.
Le Prix de l’Innovation revient à La Boule Obut et à Boa Concept
Le Coup de Cœur va à l’Agence Don en Nature et à Pôle Euralogistic
Découvrez tous les projets dans le numéro spécial de Supply Chain Magazine
Live WEBINAR « France Supply Chain International » WELCOME TO AFRICA
LE 21 JANVIER 2021
17h30 — 18h30
Dans une économie mondialisée, France Supply Chain et les entreprises qu’elle représente, joue un rôle majeur sur la scène internationale. Pour cela, France Supply Chain se doit de développer son réseau sur les principales régions économiques du monde et d’entretenir des liens étroits avec de grands acteurs institutionnels sur ces différents territoires.
Ce Live webinar « WELCOME TO AFRICA » est la 1re étape de notre déploiement à l’International.
L’Afrique est souvent citée à juste titre comme une terre d’opportunités et donc un marché à questionner pour toute entreprise en quête de développement. Néanmoins le sujet est difficile à qualifier, car les modèles commerciaux et opérationnels sont en réalité, assez méconnus des dirigeants.
Les réalités africaines sont connues au travers de lieux communs dispensés par les médias « classiques » ou par les points de vue, d’organisations telles que MEDEF Afrique, CIAN,…, très orientées macro-économie, environnement réglementaire et stratégies institutionnelles.
Pas si simple de trouver une approche équilibrée entre un “afro-optimisme” teinté souvent de naïveté et un “afro pessimisme” teinté quant à lui trop souvent d’arrogance.
Tous les acteurs s’accordent sur un point : le déploiement de solutions B2C/B2B est impossible à « copier/coller » depuis les modèles matures occidentaux. Leur dimension de globalisation, à partir de l’exemple du développement ces 25 dernières années de l’Asie du Sud Est, est inadapté.
À côté de l’aspect « stratégie de développement commercial », il y a une réelle nécessité de mise en commun des modèles d’opérations supply chain et logistiques très spécifiques.
Les « chapters Afrique » permettront d’amener cette dimension.
Live WEBINAR « France Supply Chain International »
WELCOME TO AFRICA
LE 21 JANVIER 2021
17h30 — 18h30
Dans une économie mondialisée, France Supply Chain et les entreprises qu’elle représente, joue un rôle majeur sur la scène internationale. Pour cela, France Supply Chain se doit de développer son réseau sur les principales régions économiques du monde et d’entretenir des liens étroits avec de grands acteurs institutionnels sur ces différents territoires.
Ce Live webinar « WELCOME TO AFRICA » est la 1re étape de notre déploiement à l’International.
L’Afrique est souvent citée à juste titre comme une terre d’opportunités et donc un marché à questionner pour toute entreprise en quête de développement. Néanmoins le sujet est difficile à qualifier, car les modèles commerciaux et opérationnels sont en réalité, assez méconnus des dirigeants.
Les réalités africaines sont connues au travers de lieux communs dispensés par les médias « classiques » ou par les points de vue, d’organisations telles que MEDEF Afrique, CIAN,…, très orientées macro-économie, environnement réglementaire et stratégies institutionnelles.
Pas si simple de trouver une approche équilibrée entre un “afro-optimisme” teinté souvent de naïveté et un “afro pessimisme” teinté quant à lui trop souvent d’arrogance.
Tous les acteurs s’accordent sur un point : le déploiement de solutions B2C/B2B est impossible à « copier/coller » depuis les modèles matures occidentaux. Leur dimension de globalisation, à partir de l’exemple du développement ces 25 dernières années de l’Asie du Sud Est, est inadapté.
À côté de l’aspect « stratégie de développement commercial », il y a une réelle nécessité de mise en commun des modèles d’opérations supply chain et logistiques très spécifiques.
Les « chapters Afrique » permettront d’amener cette dimension.
Le cabinet Russell Reynolds Associate publie sa dernière étude sur les tendances en matière de Supply Chain et les implications en matière de leadership.
Depuis 3 ans, SprintProject, en partenariat avec DB Schenker, FM Logistic, GS1-France, Savoye et OpinionWay réalise son baromètre annuel «Services à la livraison : réalités sur les attentes des Français». Cette étude menée auprès d’un échantillon de 2000 personnes, permet d’analyser de manière qualitative et quantitative, l’évolution des usages et attentes des Français en matière de services à la livraison.
Cette année, le baromètre reflète l’évolution des comportements pendant la pandémie, notamment sur l’achat en ligne de produits alimentaires, en hausse de 7 points par rapport à 2019. Les magasins ont également proposé plus de livraison à domicile pour limiter le risque de contamination, ce qui a impacté la fréquence des commandes, en hausse de 4 points par rapport à 2019.
La question qui se pose maintenant est la suivante :
Ces nouveaux comportements d’achat vont-ils s’inscrire dans la durée ou va-t-on revenir à des habitudes d’avant confinement ?
Dans la lignée des années précédentes, le prix de la livraison reste le critère clé de l’achat en ligne, suivi du délai et des modalités de retour. En ce qui concerne les différents modes de livraisons, on constate une hausse de l’utilisation des nouveaux modes de livraison comme la livraison en mobilité, en consigne ou en casier réfrigéré. Les entreprises sont également plus transparentes sur les suivis de livraison en temps réel.
À noter cette année : les mauvaises expériences de livraison sont en baisse significative. 54% des sondés disent avoir été confronté à un problème de livraison au cours des 12 derniers mois. C’est 8 points de moins qu’en 2019 et 13 de moins qu’en 2018.
Enfin, la majorité des français reconnaissent les bénéfices économiques de la livraison à domicile mais cela soulève également 2 autres points : la congestion urbaine et l’impact sur l’environnement.
Sur 19 dossiers, le Jury composé de Directrices et Directeurs Supply Chain a désigné les 8 finalistes pour 2021. En 2020, MG2+ gagnant des Rois de la Supply Chain a été accompagné et soutenu par France Supply Chain, pour défendre ses couleurs aux ELA Awards. Le projet y a remporté le prix de « La meilleure présentation ».
Cette année encore, France Supply Chain, partenaire de Supply Chain Magazine et membre fondateur de l’ ELA soutiendra le gagnant des Rois de la Supply Chain au niveau européen.
Tous ces projets sont résolument tournés vers l’innovation, l’optimisation et le développement durable. De beaux projets à suivre et à promouvoir avec fierté.
Nous étions les premiers à leur donner la parole lors des RISC 2019 : la Supply Chain pour une satisfaction durable et responsable, après le lancement de leur manifeste « Pour un réveil écologique » en septembre 2018. Aujourd’hui ce collectif « Pour un réveil écologique » publie les résultats d’une enquête sur les engagements écologiques de quatre grands groupes français du secteur du luxe et des cosmétiques : L’Oréal, LVMH, Kering et Rocher.
Avec plus de 30000 signataires pour leur manifeste, ce n’était que le point de départ pour le collectif. L’envie des étudiants et jeunes diplômés, de travailler pour un employeur responsable écologiquement et socialement, est encore plus forte dans le contexte actuel. Le collectif a donc enquêté sur les engagements écologiques de grands groupes français par le biais d’un questionnaire. L’objectif est de faire un état des lieux des politiques écologiques mise en place et les comparer pour chaque secteur. Ils ont également pu compter sur la coopération de professionnels pour compléter leur enquête.
Quatre enseignements principaux ressortent de l’examen des stratégies environnementales des groupes L’Oréal, LVMH, Kering et Rocher :
La réduction de l’impact écologique est certes extrêmement importante pour la préservation de l’environnement, l’intérêt financier reste encore le premier facteur déclenchant de la démarche
Certains groupes mettent au point des outils d’évaluation d’impact mais leur portée reste assez faible. Les actions peu couteuses sont privilégiées face à un changement drastique de la politique de l’entreprise
La formation des collaborateurs sur les enjeux écologiques est encore trop peu mise en avant
Le secteur du luxe et de la cosmétique possède un avantage avec des savoir-faire régionaux et l’utilisation de matière première responsable
Retrouvez l’étude « LES GRANDS GROUPES DU SECTEUR DU LUXE ET DES COSMÉTIQUES SONT-ILS À LA HAUTEUR DE L’URGENCE ÉCOLOGIQUE ? » en détail sur le site du collectif « Pour un réveil écologique ».
Les trois organisations militantes souhaitent collaborer à la structuration d’un engagement pragmatique pour une logistique urbaine efficiente orientée vers la Smart City.
Une meilleure efficacité doublée d’une plus grande représentativité sont les deux ambitions de cette collaboration. L’ASLOG, le Club Déméter et l’Institut du Commerce partagent le même constat : la distribution urbaine représente un enjeu majeur tant pour les pouvoirs publics que pour les acteurs économiques. Il y a urgence à structurer les démarches participatives qui associent ces deux parties prenantes pour développer des modèles efficients, tant sur le plan des opérations et de l’empreinte environnementale, que sur le plan de la réalité économique. Les trois instances s’unissent autour d’un même objectif : un modèle de logistique urbaine RSE.
Cette dynamique a été baptisée EVOLUE, soit Engagement VOlontaire pour une Logistique Urbaine Efficiente. Un engagement volontaire qui n’est donc pas figé et qui a pour ambition de fusionner les énergies des trois organisations et de mobiliser ses membres avec efficacité. L’objectif est de pouvoir construire des passerelles avec des territoires afin de déployer des solutions responsables.
La démarche EVOLUE va se nourrir des initiatives qui existent au sein de l’ASLOG, de l’Institut du Commerce ou du Club Déméter qui travaillent déjà sur le sujet. Réunir les travaux et parler d’une seule voix tend à rendre aussi plus crédible chacune des démarches à venir.
Les 4 leviers pour la mise en œuvre de solutions concrètes :
Data & Optimisation
Organisation de la chaîne d’approvisionnement
Moyens opérationnels & humains
Espaces de livraisons / infrastructures
Les étapes de mise en œuvre :
CONNAÎTRE : collecter des données afin d’avoir en priorité une base de connaissance sur le territoire étudié
AGIR : suggérer des expérimentations et les valoriser sur l’ensemble des externalités négatives connues : GES, polluants, bruit, accidentologie, congestion
COMPRENDRE :analyser les données, faire émerger les pistes potentielles en lien avec le territoire (collectivités, acteurs locaux, etc.)
PÉRENNISER : structurer un cadre d’engagement qui permet à la collectivité de reconnaitre les efforts entrepris par les opérateurs, les donneurs d’ordre et les prestataires vertueux
Le 17 octobre dernier, la commission Intralogistique a organisé, en partenariat avec le Grand Paris Sud, une journée de partage des meilleures pratiques en matière d’intralogistique.
La matinée a été ponctuée de conférences de divers intervenants :
Isabelle HAUTANT, Directrice et Pierre VEYER, Manager chez Argon Consulting
Vincent RICCI, Business Development Director, Supply Chain France, XPO Logistics
Justine BAIN-THOUVEREZ, avocate spécialisée en droit de l’énergie pour LLC Avocats & Associés
Franck LAMAS, Directeur R&D bâtiments logistiques au groupe IDEC
Les échanges se sont poursuivis l’après-midi par deux visites de sites : Sarenza et Showroom Privé.
L’automatisation, au service du e-commerce
L’intralogistique est au cœur du développement du e-commerce. Les activités de picking pour des commandes individuelles sont beaucoup plus complexes que pour les commandes traditionnelles à la palette. L’automatisation influe tout particulièrement sur l’atteinte des performances.
L’augmentation capitalistique qui accompagne les projets d’automatisation conduisent à automatiser avec discernement, en sélectionnant les activités à fort enjeux sans chercher à tout automatiser. En particulier, la robotisation est appropriée pour les activités de picking et de préparation de commande en e-commerce, alors que les technologies traditionnelles sont souvent appropriées pour la logistique B2B traditionnelle (ie par palette).
Sponsorship, réalisme, implication des différents acteurs sont autant de facteurs essentiels à des projets complexes : projet d’entreprise, acteurs alignés, convictions partagées.
Un mini sondage proposé aux participants a mis en évidence les préoccupations usuellement rencontrées lors des projets d’investissement :
Qu’est-ce qui vous freine aujourd’hui pour lancer un projet de mécanisation ?
4 fondamentaux pour une bonne implantation
Lors de sa présentation, Vincent Ricci a partagé 4 principes fondamentaux pour automatiser son entrepôt :
Être obsédé par la satisfaction client
Trouver du temps et de l’argent pour accéder aux nouvelles technologies
Maîtriser les data
Opérer les innovations
Satisfaction client
De nombreuses contraintes pèsent sur la Supply Chain pour répondre aux besoins clients, que ce soit B2B ou B2C :
Nouvelles technologies
Pour une entreprise logistique comme XPO, l’investissement dans les solutions technologiques représente 550 M$/an – ce qui reste bien moins que les investissements dans l’IT réalisés par les pure players.
La combinaison d’outils de gestion des transports (TMS) et d’entrepôts (WMS) est un must.
Utiliser la data
Les données ont un rôle central dans l’automatisation et l’optimisation des ressources, comme par exemple la captation des données via des IoT ou par l’intégration avec divers systèmes amont, combiner des données pour mieux prévoir la demande et saturer au mieux les capacités, faciliter les interactions avec les collaborateurs (mobiles) ou les robots pour bénéficier au mieux des automatismes.
Innovations
Les principales innovations portent sur des domaines tels que l’usine 4.0, les logiciels de gestion de commande, l’optimisation environnementale des emballages, automatisation des entrepôts… Il est également judicieux de faire appel à des 3PL qui ont la capacité de réaliser et rentabiliser les investissements nécessaires dans les technologies.
Avec ces solutions se profilent par exemple la réinternalisation des activités textiles à faible taux de MO, qui permettront la réalisation de petites productions au plus près pour optimiser les enjeux environnementaux.
Intégrer la performance énergétique
Selon Franck Lamas, la performance énergétique est de plus en plus inscrite dans les entreprises, notamment avec la réglementation RT 2012-2020.
En revanche, les bâtiments vont être amené à consommer davantage, sous la contrainte du recours à l’automatisation, des recharges de véhicules électriques, de l’amélioration du confort du personnel avec des bâtiments plus éclairés, plus chauffés…
La réduction durable des consommations passe donc par un changement de politique énergétique. Les solutions performantes et durables existent, aux entreprises de mettre la performance énergétique au cœur de leurs préoccupations.
En termes d’énergies renouvelables, le photovoltaïque est très adapté aux entrepôts frigorifiques, avec un ROI même dans les régions peu ensoleillées. Cette technologie est appuyée par de nouvelles règlementations qui conduisent les entreprises à équiper leurs bâtiments de dispositifs photovoltaïques ou de toitures végétalisés. L’obligation est déjà en vigueur pour les nouvelles constructions supérieures à 1 000m²
Le chauffage représente une part croissante de la consommation des bâtiments, avec des technologies qui n’ont pas progressées depuis de nombreuses années. La géothermie est une solution très performante pour le chauffage des entrepôts avec en moyenne une diminution de 60% des consommations.
Vous allez réaliser une autoévaluation de la maturité de votre Supply Chain.
Cet autodiagnostic, crée par le LAB ETI/PME de France Supply Chain à partir d’une sélection de 22 questions du Référentiel d’Excellence de France Supply Chain, n’a pour objectif que de fournir une évaluation du degré de maturité des fondamentaux de votre Supply Chain et de vous positionner par rapport aux meilleures pratiques du terrain.
Les données renseignées sont à usage exclusif de France Supply Chain pour alimenter une base de données permettant à chaque entreprise répondante de se comparer par rapport à des moyennes anonymisées.
Afin de vous permettre de réaliser cette comparaison, le remplissage de ce diagnostic nécessite la collecte de vos coordonnées.
Vous allez réaliser une autoévaluation de la maturité de votre Supply Chain.
Cet autodiagnostic, crée par le LAB ETI/PME de France Supply Chain à partir d’une sélection de 22 questions du Référentiel d’Excellence de France Supply Chain, n’a pour objectif que de fournir une évaluation du degré de maturité des fondamentaux de votre Supply Chain et de vous positionner par rapport aux meilleures pratiques du terrain.
Les données renseignées sont à usage exclusif de France Supply Chain pour alimenter une base de données permettant à chaque entreprise répondante de se comparer par rapport à des moyennes anonymisées.
Afin de vous permettre de réaliser cette comparaison, le remplissage de ce diagnostic nécessite la collecte de vos coordonnées.