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Les solutions digitales au service de mes opérations de transport

Expérience client, résilience, performance, environnement… Le transport est au cœur des défis de votre Supply Chain. Face à ces défis, vous êtes nombreux à accélérer la digitalisation de vos opérations de transport.

Pendant plusieurs mois, le Lab Digital Transport a récolté des données sur les outils digitaux que les entreprises utilisent pour les aider dans cette démarche de digitalisation.

Afin d’aller plus loin, France Supply Chain organisait à un webinar le 30 juin pour éclairer les entreprises sur les solutions possibles, les gains à atteindre et les bonnes pratiques. Un radar des offres disponibles, les résultats de l’enquête et des retours d’expérience concrets de Nexans et Lesieur étaient partagés lors de ce rendez-vous.

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Réponses aux questions posées lors de cette conférence :

  • Combien de transporteurs sont gérés dans le TMS ?

    Entre 30 et 80 transporteurs pour les cas présentés.
  • Combien de personnes gèrent la planification des OT ? Est-ce centralisé ?

    5 à 10 personnes gèrent la planification OT. La planification est centralisée pour Nexans.
  • Comment sont gérés les SPOTs dans votre TMS ? Avez-vous un prix marché ?

    Les TMS utilisés par Lesieur et Nexans permettent de demander des cotations spots aux transporteurs référencés.
  • Comment gérez-vous la gestion de back up en cas de refus du transporteur ?

    L’automatisation de l’affrètement permet d’atteindre un taux très élevé d’acceptation des OT par les transporteurs. En cas de refus, un TMS permet de prévoir un schéma ou un prestataire alternatif.
  • Quelles sont les limites de cet outil dans les décisions de l’opérationnel (anticipation, scénarios de décisions…) ?

    Ces outils automatisent et accélèrent le traitement des tâches réalisées quotidiennement par les opérationnels, mais aussi leur donnent le moyen de travailler par exception : les opérationnels peuvent ainsi se concentrer sur les actions qui nécessitent une intervention humaine.
  • Quelles utilisations sont faites des données récoltées et à quel horizon (semaines, mois…) ? Dans votre présentation, je n’ai vu aucune référence aux tableaux de bord et suivi d’indicateurs de performance (coût, qualité, délai, CO2…). Existe-t-il des dashboards dans ces différents outils ? Avez-vous des exemples à partager ?

    Les solutions digitales incluent en effet des tableaux de bord et le calcul de KPI. Les domaines couverts sont généralement les aspects Opérationnels (flux, qualité, ponctualité, remplissage…), Financiers (suivi du budget, répartition des coûts) et émissions de CO2.
  • Dans la multitude des TMS chargeurs (par exemple), comment choisir celui qui conviendrait, comment percevoir l’élément de différenciation entre un DDS, Generix, CJM… Pourquoi avoir choisi Oracle et DDS plutôt qu’un autre ?

    Quelques éléments de réponses apportés lors du webinar : les éléments de différenciation ne sont pas que fonctionnels. Evaluer également la capacité à s’intégrer au SI existant tout en satisfaisant aux normes de sécurité préconisé par l’organisation (qui elles-mêmes doit être compatibles avec le souci de performance imposé par les contraintes opérationnelles liées au transport). Prendre également en compte l’aspect projet et notamment les lead-times de déploiement annoncés par les différents offreurs.

    Le choix de Nexans (DDS) a été fait en 2004, je pense que nous avions d’autres critères à l’époque. Aujourd’hui le choix du bon outil est très important car très engageant, il faut impérativement définir le besoin en détail et avoir des données quantitatives relativement précises, l’implication de votre IT est également la clef du succès de la mise en place ! N’hésitez pas à échanger avec des utilisateurs.

  • Sur quelles ressources vous êtes-vous appuyés pour identifier les meilleures options devant ce nombre exponentiel de solutions modulaires ?

    Le radar liste les principales solutions disponibles pour les chargeurs sur le marché Français (il ne prétend pas être exhaustif), pour donner un premier éclairage sur le champ des possibles. Il repose sur l’expertise et la connaissance du marché apportées par les membres de France Supply Chain qui ont contribué à ce chantier.

  • En termes de traçabilité, avez-vous des retours d’information de vos transporteurs (Lot ou Messagerie) sur les événements de livraison notamment avant départ : Créneau horaire prévu de livraison. Après le départ : Retard éventuel avec nouveau créneau le même jour ou livraison reportée au lendemain

    Ces solutions digitales offrent différentes possibilités aux transporteurs pour faire ces retours : portail web, application mobile, EDI, plateforme de visibilité.

  • 10- Est-ce que Lesieur et Nexans utilise un système “Visibilité & Analytics” en plus de leur TMS (type Project 44 / Shippeo) ? Si oui, pourquoi ce choix et quel réel gain vs track & trace via le TMS. Quels critères de décision pour la sélection des outils de traçabilité/ tracking/ in-transit visibility (Project44, Shippeo, Wadeo …) et ces systèmes sont-ils intégrés avec le TMS ? Quel pourcentage de vos trajets arrivez-vous à tracer ?

    La connexion du TMS à un outil de tracking est prévue pour Lesieur et faite pour Nexans. Les critères de choix de ces outils sont généralement la couverture des modes de transport et le nombre de transporteurs déjà connectés. Ces outils de visibilité sont souvent connectés aux TMS.

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Comment faire face aux besoins en recrutement de talents Supply Chain ?

Avec la hausse de l’activité marchande et la pandémie, le marché du travail en Supply Chain a été bouleversé par des candidats aux exigences bien plus élevées. Fort de ce constat, les entreprises doivent réinventer leurs modes de recrutement et de management.

  • Pourquoi et comment obtenir des trophées du type « Best Employers » ?
  • Comment répondre aux attentes des plus jeunes en termes de métier à impact ?
  • Pourquoi la Supply Chain est-elle The Place To Be ?
  • Pourquoi les pépinières sont-elles si importantes aux yeux des jeunes candidats ?
  • La flexibilité est-elle un argument de poids afin d’attirer les talents Supply Chain notamment les cadres ?

Afin de répondre à ces questions et à beaucoup d’autres, notre Lab RH organisait le 21 juin une table ronde. Au cours de ce webinar , il partageait ses analyses et informations de référence concernant le recrutement. Acteurs de la Supply Chain, Directeurs RH, étudiants, enseignants, cabinets de recrutement, etc :tous étaient conviés !

Lors de cette conférence, accessible en replay pour nos membres, les intervenants ont mis en lumière la dynamique sur le marché de l’emploi, les nouveaux débouchés et les méthodes pour attirer, fidéliser les talents en Supply Chain.

Cette table ronde a permis de connaitre :

  • Les types d’emplois en tension
  • Les moyens mis en place par les entreprises pour répondre aux attentes des candidats
  • La dynamique de l’enseignement et vision des étudiants sur les métiers en Supply Chain
  • Les pratiques, orientations et cultures d’entreprise pour favoriser l’attractivité des métiers

Questions posées lors de la conférence :

  • Existe-t-il une prise de conscience des entreprises sur le désamour vis-à-vis d’elles de la part des salariés générant une inflation galopante du turnover et des salaires associés, d’une part de la part des expérimentés usés et d’autre part par la jeune génération ? Quelles solutions sont mises en place pour mettre sous contrôle cela ?

    La question est riche ! Je ne partage pas l’idée d’un désamour général vis-à-vis des entreprises, mais il est vrai que la crise Covid, par la rupture qu’elle a occasionnée avec les lieux et habitudes de travail, a donné des envies de changement de vie à beaucoup de gens… Mais ils partent plus souvent pour une autre entreprise que pour ouvrir des chambres d’hôtes au bout de la France… Le marché de l’emploi étant particulièrement dynamique en termes d’offres, cela entraine effectivement en ce moment une accélération du turn-over et un certain phénomène de surenchère salariale. 

    L’entreprise classiquement s’adapte à très court terme en augmentant les salaires à l’embauche et en retenant les candidats au départ par des contre-offres salariales si ce sont de très bons éléments, mais se pose ensuite bien évidemment le problème de l’équité interne avec les autres collaborateurs qui eux travaillent sagement sans faire leur CV. La solution généralement mise en place par les DRHs réside d’une part dans des enveloppes globales d’augmentation qui se font plus généreuses quand le marché est à la hausse, et par un travail d’identification des meilleurs éléments, ceux que l’entreprise tient absolument à garder et à motiver plus particulièrement, et qui bénéficieront eux de mesures un peu exceptionnelles et de véritables rattrapages salariaux parfois. Le phénomène décrit dans la question de 2-3 ans d’expérience plus payés que des 7-8 ans d’expérience ne devrait pas se produire dans une gestion professionnelle des talents, sauf à ce que le 2-3 ans d’expérience soit doté de compétences pointues et rares sur le marché (on voit cela dans les métiers de l’IT) ou qu’il soit identifié comme ayant un potentiel d’évolution très fort. Dans ce cas, il peut être effectivement un peu « sur-payé » en début de carrière, mais parce que très vite il va prendre des responsabilités plus élevées que les 7-8 ans d’expérience…

    Quant à la « jeune génération venant consommer l’entreprise » sans retour sur investissement pour l’entreprise qui a investi sur eux… sans jugement de valeur, oui on constate qu’en tout début de carrière les jeunes envisagent souvent leur 1ère entreprise comme un module complémentaire de leurs études, avec une durée en poste(s) de 12 – 18 mois… avant de partir, soit dans une autre entreprise, soit très fréquemment aussi pour un projet personnel comme 1 an à l’étranger, ou l’engagement dans une ONG, … Cela pose effectivement pour les entreprises la question du ROI des programmes de type « pépinière » ou « young graduate »…

  • Avec la crise d’approvisionnement du Covid, le terme Supply Chain est devenu plus commun mais aussi synonyme des problèmes d’approvisionnement, ce qui parfois impacte encore plus l’attractivité pour le recrutement. Vos commentaires ?

    La presse généraliste, les médias et les hommes politiques ont massivement communiqué sur les problèmes rencontrés par les Supply Chains depuis le début de la pandémie. Même le Président Biden qui a longuement expliqué pourquoi les enfants américains allaient devoir attendre leurs jouets de Noël. À la suite de ces problèmes d’approvisionnement, les entreprises ont découvert l’importance vitale des femmes et des hommes qui sont dans les métiers de la Supply Chain. Avec ce regain d’intérêt, nous assistons aussi à une prise de conscience de l’existence de ces métiers par les étudiants. Nous avons donc depuis l’année dernière plus de jeunes qui veulent accéder à ces métiers.

  • Est-ce que le niveau d’implication d’une entreprise dans les domaines RSE est un critère de choix pour nos futurs jeunes diplômés ?

    Le niveau d’implication d’une entreprise en RSE n’est plus la bonne façon de qualifier l’action et les politiques des entreprises en termes de RSE. Aujourd’hui toute entreprise envoie une image aux jeunes diplômés. Cette image est surtout appréciée sous l’angle de la RSE ainsi que l’angle de qualité de la vie en entreprise. Si l’image n’est pas suffisamment attractive, les jeunes ne candidatent pas. Par conséquent, si une entreprise veut attirer les jeunes diplômés, elle doit pratiquer de vraies politiques de RSE et les faire connaitre.

  • Au même titre que le COVID a mis en lumière ces métiers, n’a-t-il pas changé les exigences nos jeunes talents ?

    Les changements observés vont concerner tous les métiers :

    • « meilleur équilibre pro -perso » avec une part de télétravail qui devient de plus en plus « acquise » autour de 2 jours / semaine.
    • La dimension RSE de l’entreprise. Le changement est que si la question était déjà posée « avant », les jeunes talents ne se contenteront pas d’une déclaration d’intention et challengeront sur la mise en place de ces engagements.
    • La réputation de l’entreprise, via des sites comme google review, glaasdoor, ou Job Teaser pour connaitre les valeurs de l’entreprise.
    • La question du sens aussi dans le job : plus de diversité et quel parcours proposé ? Attention, il faut préciser que ceci n’est pas tant le fait du Covid que d’un marché de l’emploi favorable qui permet un plus haut niveau d’exigences…
  • Quels sont les postes managériaux accessibles après diplomation ?

    Les postes accessibles après l’obtention d’un diplôme en Supply Chains sont très variés. On voit souvent des demande planners, des chefs d’équipes en logistique, des data analysts, des consultants, des membres d’équipes projets en intégration de nouveaux systèmes d’information, des acheteurs, des gestionnaires clients, gestionnaires d’approvisionnements…

  • En entretien avec un candidat diplômé de master Supply Chain, quelles sont les compétences/expériences critiques recherchées ?

    Si on parle d’étape nécessaires en vue d’un poste de Manager Supply chain : en Industrie, une expérience en S&OP et /ou planification est un prérequis, en logistique et transport pour les secteur de la distribution et de la prestation. Quel que soit le secteur, une expérience en chefferie de projet sera attendue ainsi qu’un vécu international ou a minima dans une équipe multiculturelle anglophone.
    Sur l’ensemble des expériences (ce qui s’applique aussi à de jeunes diplômés,) nous allons chercher les compétences suivantes : 
    orientation « résolution de problème» et résultat, relationnel interne/externe, influence, sens client « interne/externe », ouverture/curiosité.
    Pour des profils plus expérimentés avec une dimension managériale : intelligence émotionnelle, capacité à donner du sens,
    Et bien sûr… l’humilité

  • Vous n’avez pas parlé de la dimension internationale des métiers de la Supply Chain. Pourquoi ?

    On peut renvoyer à la dernière demi-heure de la table ronde où la question des carrières internationales a été traitée assez largement. Nous avons notamment souligné l’importance de maîtriser l’anglais, voire une 3e langue, l’intérêt fort des missions dès qu’elles intègrent la gestion d’enjeux multi-pays, et les possibilités de partir travailler dans un pays étranger, de plus en plus souvent en contrat local plutôt qu’en expatriation

  • Est-ce que nos université et écoles ne devraient-elles pas commencer à éduquer nos jeunes plus tôt qu’en Master ? Pourquoi pas une filière Supply Chain dès le début de la scolarité ?

    Une filière Supply Chain depuis le début n’a pas que des avantages. En effet, les étudiants qui la suivraient auraient nécessairement des lacunes concernant les autres fonctions de l’entreprise et pourraient considérer que les fonctions de marketing, finance, systèmes d’information, voire ressources humaines sont secondaires ou subalternes. Nous privilégions une formation généraliste en début de cursus afin de les aider à considérer la gestion de l’entreprise comme un tout avec ces différents aspects. En dernière année de Master, nous leur apportons le complément de formation théorique qui leur permet de voir en quoi les fonctions achats et Supply sont vitales et comment elles contribuent à la création de valeur dans l’entreprise. Un bon Supply Chain manager est un décisionnaire qui sait voir tous les aspects de l’entreprise, sait dialoguer avec les autres fonctions et emmener ses équipes vers une plus forte collaboration en interne et avec les partenaires externes. Les formations d’aujourd’hui sortent du modèle classique par l’accent donné à la digitalisation des processus et à la mise en valeur des talents individuels des futurs managers. Ceux-ci doivent pouvoir sortir du cadre habituel pour inventer de nouvelles solutions, appliquer de nouvelles méthodes, encourager et faire émerger de nouveaux talents.

  • Comment recruter des profils supply/logistique quand ce n’est pas le cœur de métier de l’entreprise ?

    « Vraie bonne » question… Si on parle des entreprises en dehors des secteurs de la distribution et de la prestation logistique transport, il s’agit à la fois de celles où il y le plus de diversité de métiers et en même temps celles où la fonction est parfois peu reconnue…Les besoins en Supply Chain, et donc les parcours sur les métiers, peuvent y être mal connus, les outils et/ou les ressources sous dimensionnés et les relations avec les « fonctions connexes » parfois compliquées.
    C’est justement dans ces environnements qu’il y a tant à faire et qu’on peut y trouver des projets passionnants !!  A condition d’une expertise technique, d’une confiance en soi, d’une intelligence émotionnelle et d’une bonne capacité d’influence qui passe par une capacité à donner du sens pour ses équipes, sa direction générale et les autres directions (commerce, achats, industrielle..)
    L’entreprise devra donc valoriser la diversité et la richesse des métiers (notamment S&OP / planification, pas ou peu présent dans les autres secteurs), l’intérêt et l’impact des projets.. rassurer sur les moyens engagés (actuels et à venir)… présenter lors des entretiens un Manager/directeur d’une autre fonction, ce qui eput éclairer sur l’état de maturité Supply Chain ou au moins de sa reconnaissance en interne.
    Enfin, ces entreprises disposent d’un atout énorme : les passerelles vers d’autres métiers, hors Supply Chain.

  • La voie de l’alternance reste-t-elle la voie royale pour accéder aux postes Supply Chain ?

    La voie de l’alternance a le vent en poupe car elle permet aux entreprises de participer à la formation professionnelle des futurs collaborateurs. En France cette voie de formation est extrêmement contrainte par le cadre réglementaire et il est possible que les gouvernements et les partenaires sociaux fassent évoluer sensiblement ce cadre. Cette voie, aujourd’hui royale, pourrait ne plus l’être. Les autres voies pour entrer dans les carrières en Supply Chain existent aussi et sont toujours bien pratiquées par un nombre important d’entreprises tant françaises qu’étrangères.

  • En termes d’expérience ? Vous préférez recruter plutôt des juniors, des seniors ?

    Ma réponse est « De tout » ! La croissance du secteur est telle que les besoins sont importants à tous les niveaux, et, les politiques D&I aidant, associées à des carrières de plus en plus longues report de l’âge de la retraite oblige, un senior (dont on peut rappeler que l’âge légal est de 45 ans !!!) a aujourd’hui toute sa place, à une condition, travailler son employabilité : se former, maintenir sa motivation et sa capacité d’adaptation, autrement dit, « rester jeune dans sa tête », et, peut-être, parler au recruteur de sa passion pour son métier plutôt que du nombre de trimestres restant à faire avant la retraite… 

  • Comment FM a travaillé son expérience candidat “concrètement” pour être 4ème France ?

    Les candidats qui nous ont plébiscité traduisent déjà le sentiment d’un processus de recrutement plutôt agréable. Nos recruteurs et nos managers font naturellement passer dans leur façon d’être avec les candidats les « codes comportementaux » de la culture FM, par exemple de la simplicité dans la relation, de la transparence (puisque la confiance est notre première valeur), et un questionnement généralement dénué d’agressivité ou de mise sous tension des candidats. Ce qui n’empêche pas d’effectuer le travail d’évaluation.

    En présentiel, les candidats soulignent aussi la convivialité qu’ils perçoivent dans l’entreprise, quand ils attendent à l’accueil, ils voient que tout le monde se dit bonjour, on leur offre un verre d’eau ou un café. Cela paraît fou sans doute de noter cela comme différenciant, mais c’est sûrement que ce n’est pas le cas partout …. 

    Après, oui, nous faisons attention à la qualité de notre process, nous faisons au mieux pour que les candidats aient des réponses, sachent où en est le processus de décision, si nous leur proposons un questionnaire d’évaluation de leurs compétences ou de leurs motivations, nous leur donnons toujours un feed-back, nous sommes clairs et précis sur les offres salariales, et dans une recherche de relation équilibrée, gagnant-gagnant et de long terme. Nous ne sommes pas parfaits bien entendu et il y a des ratés, mais peut-être moins qu’ailleurs ?

    Puis et surtout je devrais dire, nous soignons l’arrivée des nouveaux embauchés, avec par exemple un petit colis d’accueil, un mot écrit du manager, de multiples rencontres pour connaître ses collègues et clients internes, un parrain ou « buddy » sur qui s’appuyer les premiers mois, pour s’intégrer et se créer son réseau interne, et des formations dès les premiers jours. Là encore, rien de « rocket science » mais de l’attention portée à la personne, avec l’envie sincère de lui donner toutes les chances de réussir et le sentiment que nous sommes heureux de la compter parmi nous.

  • Sur quel site d’emplois retrouvons-nous le plus de candidats cadres ?

    Vous pouvez retrouver davantage d’emplois cadres sur les sites Apec et Cadremploi.

  • Est-ce que la tendance RH actuelle est davantage orientée vers le recrutement en CDI et CDD ou vers l’interim ?

    Les chiffres officiels (Pôle emploi) annoncent 71% de CDI et CDD+de 6 mois pour les projets de recrutement en 2022.
    Depuis 2021, à l’échelle de notre cabinet, pour les postes en Supply Chain, les besoins de nos clients en CDI ont augmenté bcp plus vite que les missions d’interim. (+40% VS +15%).

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Les quick wins de l’automatisation logistique

Dans le cadre de la rédaction d’un livre blanc, nous avons fait le constat que les projets d’automatisation classiques, dont la taille et le prix peuvent vite devenir importants, présentaient trop de risques pour que beaucoup d’entreprises sautent le pas.

En partenariat avec EOL et Wavestone, nous cherchons donc à collecter vos besoins et vos exemples d’automatisations pour répondre à vos problématiques quotidiennes de logisticiens tout en restant de taille modeste et de mise en œuvre rapide.

Bienvenue au nouveaux membres du CA

Lors de l’Assemblée Générale qui s’est tenue le 17 juin au cours de laquelle France Supply Chain a présenté les travaux réalisés par l’association. Les élections ont validé l’entrée de 6 nouveaux membres au sein des 2 collèges représentatifs de l’Association.

Johanna BITTAN
Supply chain Digital transformation Director • L’Oréal

Alain BORNE
Global Supply Chain Director • Rémy Cointreau

Arnaud DE MOISSAC
CEO • DCbrain

Isabelle DRESCO
Directrice Générale France et Maroc • Chep

Laurent LACOTTE
Directeur Commercial Business Unit Frais • Stef

Mohamed MARFOUK
Directeur des Opérations • LVMH

Ils rejoignent les 42 membres du Conseil d’Administration et renforcent les 2 collèges qui le composent : 

  • le collège 1, fédérant les entreprises industrielles, entreprise de négoce et distribution, prestataireslogistiques et structures de santé ;
  • le collège 2, représentant : prestataires de service, associations, fédérations, organismes de recherche etformation et Individuels.

Ces nominations s’inscrivent dans la continuité de la dynamique de France Supply Chain qui accompagne la transformation des entreprises tant au niveau national qu’international. 

France Supply Chain renforce son implication pour une supply chain durable levier de transformation pour une entreprise full RSE à l’horizon 2030

La RSE est plus que jamais au centre des préoccupations des entreprises. Entre pandémie, conflits géopolitiques et changement climatique, la RSE met aujourd’hui les entreprises face à leurs responsabilités et les fait s’interroger sur leurs organisations pour les années à venir. 

Partant de ce constat, L’Institut de l’Entreprise, PwC France et Maghreb, et la FNEGE (Fondation L’Institut de l’Entreprise) ont coordonné une étude, «L’Entreprise Full-RSE à horizon 2030», visant à comprendre comment intégrer la responsabilité sociale, sociétale et environnementale des entreprises à tous les niveaux de leurs organisations. 

De la prospective à la pratique

 Entre septembre 2020 et novembre 2021, dans une démarche partenariale inédite, 10 associations professionnelles de référence*, réunissant plus de 240 témoins, issus des directions de plus d’une centaine d’entreprises, et 30 experts académiques, ont participé à 10 ateliers de «design fiction», consistant à se projeter dans des futurs plausibles pour se questionner sur les orientations à prendre dans le présent. 

FRANCE SUPPLY CHAIN, l’interlocutrice de référence sur toutes les questions relatives aux enjeux de la chaîne d’approvisionnement et impliquée depuis de nombreuses années pour des Supply Chain durables, se réjouit d’avoir contribué à cette étude.

 Pour Yann de Feraudy, Président de France Supply Chain : 

 En 2030, la fonction Supply Chain devient plus centrale et visible. Dans la mesure où elle touche 60 à 80% de la structure de coût, elle est un des leviers majeurs de la transformation de nos entreprises. Elle couvre nombre d’activités depuis le sourcing, jusqu’au recyclage des produits en passant par les achats, l’approvisionnement, la planification, la production, le stockage et le transport… Cette position centrale et transversale aligne les fonctions Achats, Industrielles et Logistiques vers une même vision stratégique et opérationnelle. 

Une entreprise full RSE définira une politique d’approvisionnement et en demandera l’exécution conjointe par ses services Achats et sa fonction Supply Chain… Celle-ci se dotera de moyens technologiques de plus en plus pointus pour assurer une meilleure visibilité et traçabilité sur toute la chaîne en optimisant le service et l’utilisation, voire la réutilisation, des ressources pour préserver la planète. Elle devra collaborer avec les parties prenantes internes, mais aussi externes à l’entreprise, mobilisant tout son écosystème. 

Ces ateliers ont souligné les difficultés qui « font obstacles », nous pensons qu’il faut regarder au-delà en s’appuyant sur les changements en cours qui fonctionnent et tracent des lignes pour l’avenir ! 

La fonction Supply Chain full RSE sera : Centrée sur le Client, plus Résiliente, toujours plus Collaborative (parfois même avec des concurrents) ainsi saura-t-elle mieux recruter et développer des Talents et avoir un impact positif sur la planète.

*L’Institut de l’Entreprise, PwC, la FNEGE, l’ANDRH, l’ADETEM, le CIGREF, le CNA, la DFCG, Entreprises & Médias, France Supply Chain, l’IFA, et l’ORSE 


À propos de France Supply Chain

Dans un monde de plus en plus complexe, faire de la Supply Chain un levier pour un monde plus durable est un enjeu essentiel pour toutes les entreprises. C’est pourquoi France Supply Chain apporte des solutions pertinentes à tous les acteurs de la Supply Chain, grâce à son réseau de 450 entreprises affiliées et une démarche reposant sur l’intelligence collective.

Contact presse : CLC Communications

Gilles Senneville et Laurence Bachelot

01 42 93 04 04 
g.senneville@clccom.com
l.bachelot@clccom.com 

Engins de manutentions : Comment répondre aux enjeux énergétiques de l’entrepôt d’aujourd’hui et de demain ?

Dans un contexte où les entreprises mettent en place des solutions pour réduire leur consommation d’énergie et leur empreinte carbone, l’intralogistique suscite de plus en plus d’intérêts. Aujourd’hui avoir une intralogistique optimisée et agile représente un avantage concurrentiel. Les entreprises sont à la recherche de nouvelles technologies, sources d’énergies pour plus d’efficacité, de rentabilité et de durabilité.

Le 31 mai, France Supply Chain organisait un webinar avec les entreprises EOL, Fenwick, Evolis Sympo et Andine pour découvrir quelles innovations mettre en place pour sa flotte d’engins de manutentions (replay webinar ci-dessous).

Supply Chain x Cybersécurité

Le 22 avril 2022, au sein du Lab Digital, France Supply Chain et Wavestone publiait le Livre Blanc Supply Chain x Cybersécurité, dédié aux problématiques du risque digital, un enjeu majeur pour la Supply Chain. Après plusieurs mois de travaux sur cette thématique, le 15 avril nous avons organisé un webinar pour présenter la publication, que vous retrouvez à la fin de cet article.

Décarbonation Supply Chain : Collaboration The Shift Project x SupplyChain4Good

En 2021, nous avons rédigé un manifeste pour une Supply Chain durable et notre objectif est d’avoir un document vivant que nous enrichissons en continu en fonction des expériences et projets de nos membres.

Nous souhaitons ouvrir nos travaux vers d’autres associations de référence qui œuvre aussi pour la décarbonation de l’économie. Dans ce cadre, des échanges ont été initiés avec « The Shift Project ».

Accélérer la transition énergétique de la Supply Chain

L’urgence climatique, couplée à la crise du covid, révèle l’importance de décarboner les énergies produites et consommées, et de développer les circuits courts énergétiques. Au-delà du sens de l’histoire, il y a les contraintes réglementaires liées aux enjeux de l’investissement durable et aux besoins énergétiques des territoires. Ce contexte, en proie à des obligations européennes ambitieuses de généralisation d’énergies vertes, place la Supply Chain comme productrice et source d’énergies pour les territoires.

Le 22 mars France Supply Chain organisait une conférence avec le cabinet LLC avocats pour savoir comment agir sur les enjeux énergie carbone. L’objectif de cette conférence était de dépasser les contraintes réglementaires en faisant ressortir les bénéfices environnementaux et économiques des projets énergétiques en regard des spécificités de la Supply Chain.

CO2e Measurement Across Supply Chain by SupplyChain4Good

Grâce à une étude du cabinet BCG en 2021 auprès de 1 290 entreprises, nous savons que :

85%

des organisations se considèrent soucieuses de réduire leurs émissions

9%

sont capables de mesurer leurs émissions de manière exhaustive

11%

ont réduit leurs émissions conformément à leurs ambitions affichées sur les cinq dernières années

Plus largement, les répondants à cette étude estiment un taux d’erreur moyen de 30 à 40 % dans la mesure de leurs émissions.

Suite à la parution du 6e rapport du GIEC et les ambitions partagées par The Shift Project dans leur Plan de Transformation de l’économie française, il est clair que les organisations ne sont pas à la hauteur du défi.

C’est pourquoi le LAB SupplyChain4Good lance le projet «CO2e Measurement Across Supply Chain»

Pour mener à bien ce projet, nous lançons une enquête pour évaluer la mesure d’impact des entreprises. Plus nous serons nombreux à participer, plus nous pourrons avancer ensemble sur les bonnes pratiques à adopter pour de faibles émissions de carbone.

Les objectifs

  • Diagnostiquer les pratiques actuelles de mesure du CO2e dans les chaînes d’approvisionnement.
  • Examiner les perspectives d’amélioration des pratiques de mesure (automatisation, collaboration, granularité, exhaustivité…).
  • Se mettre d’accord sur un niveau ciblé de précision de la mesure du CO2e qui pourrait soutenir le pilotage de la transition vers une économie à faible émission de carbone avec un effort raisonnable

Les livrables

  • Enquête auprès de tous les participants pour évaluer la maturité de la mesure d’impact, les priorités et les préoccupations actuelles concernant les méthodologies existantes.
  • Diagnostic des pratiques actuelles de mesure d’impact liées à la chaîne de valeur ; le niveau d’exhaustivité, de granularité, de fréquence et de précision doit être évalué et remis en question
  • Guide des meilleures pratiques / Ensemble de recommandations sur le niveau de mesure ciblé pour chaque axe identifié dans le diagnostic et l’enquête
  • Label “SupplyChain4Good approved” et/ou engagement de tous les participants à adopter les pratiques recommandées.
  • Proof of Concepts adaptés aux besoins révélés des participants
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